Mis en place par des pays dominants, des « États » s’adonnent à des pratiques féroces et abjectes.
Des « États » qui contribuent à semer la désolation, la désagrégation, la décomposition et la pourriture.
Des « États » bâtis sur le crime à divers niveaux, les massacres, les carnages, les vols, les humiliations, la corruption et le vice.
Des « États » de la puanteur qui, tel un virus, répandent la contamination par des germes de la putréfaction.
Des « États » répugnants, ignobles, abominables et insatiables.
Des « États » de trafiquants qui ont recours aux pillages, aux dépossessions, aux falsifications et aux trucages.
Des « États » de la terreur.
Des « États » de l’obscurantisme.
Des populations connaissent les séquestrations, les enlèvements, les arrestations arbitraires, les disparitions et les éliminations.
Des hommes, des femmes et des enfants n’ignorent rien des pratiques cruelles, des persécutions, des tortures et des supplices de ces « États ».
Ces « États » de sinistre réputation, « États » de « l’indépendance dans l’interdépendance », se maintiennent en servant leurs employeurs : Le système bancaire international, le néo-colonialisme, l’impérialo-sionisme.
Ces employés sont autorisés à s’offrir leurs « propres »[1] domestiques qu’ils prennent y compris parmi ceux et celles qui ont subi le pire de leurs pratiques.
Ils chargent certains de ces domestiques d’user de verbiages stériles, de phraséologies creuses, d’images lamentables, de dialectique minable, ou autres pour tenter, par un emballage qui se veut «soigné», de faire croire que le «produit» est malgré tout présentable ou peut le devenir.
Ils leur permettent même de faire de « l’opposition », en ayant recours à la critique et à la dénonciation pour mieux faire passer la tromperie.
Ces domestiques cherchent à faire oublier ce qu’ils sont et se mettent alors à disserter sur ce qu’ils appellent la « distance académique»[2] qui leur permet d’avoir une « approche constructive » et une « participation positive » pour « changer la situation ».
Ils sont dans les ténèbres.
BOUAZZA
Des « États » qui contribuent à semer la désolation, la désagrégation, la décomposition et la pourriture.
Des « États » bâtis sur le crime à divers niveaux, les massacres, les carnages, les vols, les humiliations, la corruption et le vice.
Des « États » de la puanteur qui, tel un virus, répandent la contamination par des germes de la putréfaction.
Des « États » répugnants, ignobles, abominables et insatiables.
Des « États » de trafiquants qui ont recours aux pillages, aux dépossessions, aux falsifications et aux trucages.
Des « États » de la terreur.
Des « États » de l’obscurantisme.
Des populations connaissent les séquestrations, les enlèvements, les arrestations arbitraires, les disparitions et les éliminations.
Des hommes, des femmes et des enfants n’ignorent rien des pratiques cruelles, des persécutions, des tortures et des supplices de ces « États ».
Ces « États » de sinistre réputation, « États » de « l’indépendance dans l’interdépendance », se maintiennent en servant leurs employeurs : Le système bancaire international, le néo-colonialisme, l’impérialo-sionisme.
Ces employés sont autorisés à s’offrir leurs « propres »[1] domestiques qu’ils prennent y compris parmi ceux et celles qui ont subi le pire de leurs pratiques.
Ils chargent certains de ces domestiques d’user de verbiages stériles, de phraséologies creuses, d’images lamentables, de dialectique minable, ou autres pour tenter, par un emballage qui se veut «soigné», de faire croire que le «produit» est malgré tout présentable ou peut le devenir.
Ils leur permettent même de faire de « l’opposition », en ayant recours à la critique et à la dénonciation pour mieux faire passer la tromperie.
Ces domestiques cherchent à faire oublier ce qu’ils sont et se mettent alors à disserter sur ce qu’ils appellent la « distance académique»[2] qui leur permet d’avoir une « approche constructive » et une « participation positive » pour « changer la situation ».
Ils sont dans les ténèbres.
BOUAZZA
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire