Du sexe sans frontières. La baise pour tous et pour toutes. Le cul libéré.
« L’époux travailleur » s’épuise à la « tâche » : bouches affamées, vagins boulimiques et postérieures insatiables.
« L’honorable épouse » se roule des pelles sur le lieu de « travail », et fait du domicile con-jugal un lieu de passe, où elle joue aux « devinettes » avec le passant pour qu’il « donne sa langue à la chatte »,[1] et salive pour la « chatte à fouetter ».[2]
« La fille ouverte » se livre à des rapports incestueux,[3] fait bander le chien et se fait souvent besogner par un ami de la « famille ».
« Le fils prometteur » s’enorgueillit de sa queue de cheval, très appréciée par une enseignante « libérée », portée sur la peinture, la s-cul-pture[4] et d’autres œuvres dont elle aime être profondément pénétrée.
Des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, des hétérosexuels, des suceuses, des travestis, des masturbateurs, des gigolos et autres entretiennent cette « évolution cul-turelle », et étendent l’éveil de la conne-science.[5] Parmi eux, certains font participer des animaux[6] aux ébats.
« Libération sexuelle » : ambiance d’enfer.[7]
De temps à autre cependant, des « révélations fracassantes » sont faites sur les « déboires conjugaux » de chefs d’état et de gouvernement qui s’adonnent chez eux, dans des palaces ou ailleurs à des orgies, sur les frasques de ministres putes, sur d’autres qui s’envoient en l’air dans des bureaux, des ascenseurs et des chiottes, sur des députés, des sénateurs et divers représentants « élus » qui copulent à qui mieux mieux dans des véhicules de « service » et des recoins de bâtiments « publics », qui se font des fellations, se lèchent et fricotent dans de multiples endroits d’institutions diverses, qui aménagent mille et une rencontres pour se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques, sur des membres racoleurs de partis politiques, toute tendance con-fondue, qui usent de leur corps pour recruter, sur ceux et celles qui font l’éloge de la « promotion canapé »,[8] et qui défendent les mœurs de la fornication et de l’adultère.
Pourquoi ces « révélations fracassantes » ?
Pour faire semblant[9], selon les circonstances et les moments, de tenir à des « valeurs » et de s’intéresser à la « famille ».
Certes la « famille » décomposée s’affiche,[10] mais parfois, le « beauf »[11] et sa femelle apprécient que l’on fasse semblant de dénoncer la décomposition et de disserter sur la « famille », « socle indestructible ».
« Révolution sexuelle » ou baisolution pour les pour-voyeurs[12] et les pour-voyeuses[13] de « révélations fracassantes », ne doit pas empêcher de penser aux « votants » et aux « votantes » pour qu’ils aient la conne-viction[14] que la baisologie obéit à des « principes » qui ne con-fondent pas vie privée et vie publique et con-fortent la « liberté » et les « droits de l’homme ».
Autrement dit, il s’agit de ne pas offrir au « terrorisme » et à la « barbarie » ce qui pourrait aider à niquer la « démocratie » et la « civilisation ».
Les croyants et les croyantes ont su, savent et sauront à quoi s’en tenir.
BOUAZZA
[1] « Donner sa langue au chat » est une expression utilisée pour exprimer son incapacité à trouver la réponse attendue.
Ici, il s’agit pour le « passant » de lécher le « minou » (le vagin) offert avec sa toison pubienne.
[2] « Avoir d’autres chats à fouetter » signifie avoir d’autres préoccupations.
Ici, il s’agit pour le « le passant » de s’occuper du « minou ».
[3] Lorsque des membres d’une même famille sont majeurs ou atteignent l’âge de la majorité sexuelle, ils peuvent baiser ensemble s’ils sont consentants. Ce n’est pas une infraction en droit pénal.
Une sœur peut tout faire avec son frère et vice-versa.
Une mère peut s’envoyer en l’air avec son fils ou sa fille.
Un père peut enculer sa fille ou son fils.
Un fils peut besogner sa mère ou son père.
Une fille peut forniquer avec son père ou avec sa mère.
[4] Dans un coin de la chambre à coucher, à côté d’un pénis en bois d’ébène et d’une sculpture représentant un mâle avec sa bite en érection, trône une copie du tableau de Gustave Courbet, « l’Origine du Monde ». Tableau peint en 1866, suite à la commande de Khalil Bey, un diplomate Turc. Ce tableau représente une femelle allongée nue sur le dos, les jambes écartées, offrant son vagin et sa toison pubienne. La voisine « libérée », portée sur l’art, aime se prendre pour la femelle du tableau. Parfois, entre deux parties de baise, elle met son doigt, le majeur, dans son vagin et se livre à un va et vient intense en murmurant que le tableau aurait été mieux avec une bite dans le vagin.
[5] La conscience.
[6] Zoophilie : les animaux participent à la baise.
[7] Connue aussi dans des pays dits « musulmans ».
[8] Comment utiliser son vagin et autres orifices et organes pour « réussir professionnellement ».
[9] Quitte à « sacrifier » parfois quelques « spécimens » pour la forme.
[10] C’est « tendance ».
[11] « Monsieur tout le monde », avec ses travers.
[12] Pourvoyeurs.
[13] Pourvoyeuses.
[14] Conviction.
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