lundi 31 août 2009

ATTAQWA



En France, il y a des enfants blonds et d’innombrables autres qui ne le sont pas.
Lorsqu’ils vont à l’école, les uns et les autres sont des écoliers.
Cependant, pour continuer à alimenter une sorte de rituel qui tient à présenter la France comme le pays des enfants blonds, chaque rentrée scolaire sert à rappeler que c’est la fin des vacances pour « nos chères têtes blondes ».
Les croyants et les croyantes savent que parmi les êtres, le plus noble auprès d’Allah,[1] l’est par la piété.[2]

BOUAZZA


[1] Dieu.
[2] Attaqwa en langue Arabe.

vendredi 28 août 2009

PRIVILÈGES


C’est le mois de ramadane.[1]
Les croyants et les croyantes ont le privilège de jeûner.
Du Bonheur.
Nous sommes reconnaissants à Allah[2] pour ce privilège et pour tous les privilèges de l’Islam.[3]

BOUAZZA

[1] Ramadan.
[2] Dieu.
[3] L’Islam consiste à faire de son mieux pour adorer Allah, comme Allah le demande.

mardi 25 août 2009

QUE FAIT-ELLE?



Dès le lendemain de mon arrivée dans le Sud-Est de la France où je passe un certain temps en été, je mets tout en place pour qu’elle ne manque de rien et je l’attends.
En général, elle est au rendez-vous et ne me prive pas de sa compagnie. Les quelques moments passés avec elle, sont une richesse inépuisable.
Son long périple pour arriver dans la région, n’affecte pas sa beauté : Douceur du regard, finesse de la démarche, splendeur de la parure.
Dans le jardin où je l’attends, avec des arbres, des fleurs, des oiseaux et autres, nous glorifions Allah,[1] Seigneur des Univers.
À l’endroit où elle se trouve, je sais, de Source Sûre, qu’elle fait de même et accomplit ce pour quoi elle a été créée.
Comme les autres tourterelles.

BOUAZZA

[1] Dieu.

lundi 24 août 2009

SYLVAIN



Sa peau est noire. Comme celle de Bilal.[1]
Son cœur est couleur d’Espoir.
Il a fréquenté le même collège que mon fils aîné, dans la banlieue de Paris, en France.
Ils se sont mieux connus quelques années plus tard et sont restés en contact.
Ils ont beaucoup échangé sur le Sens et le Lien. Sur l’Islam.[2]
Il a fait part à mon fils de sa décision de retrouver ce qui lui vient d’avant qu’il ne soit.[3] D’aimer à retrouver la Raison.[4]
Mon fils aîné est devenu son frère en Islam. Mon autre fils aussi.
L’année dernière, son père a quitté ce monde.
Lui est resté avec sa mère.
Il vient d’avoir une crise cardiaque et son existence ici-bas a pris fin.
Nous sommes à Allah et à Lui nous retournons.
Qu’Allah le couvre de Sa Miséricorde et nous unisse au Paradis Suprême.[5]


BOUAZZA




[1] Un des premiers compagnons du Messager et Prophète Mohammad, bénédiction et paix sur lui.
Esclave, il a compris que l’affranchissement est dans la Résistance pour l’Islam.
Les tortures, les mauvais traitements, les insultes et autres n’ont fait que renforcer sa Foi.
Le Messager et Prophète Mohammad, bénédiction et paix sur lui, l’a désigné pour assurer les appels à la prière, pour être « mouaddine » (ce mot en langue Arabe a été repris en Français et se dit muezzin).
[2] L’Islam consiste à faire de son mieux pour adorer Allah, comme Allah le demande.
[3] La Foi.
[4] Être musulman (mouslime en langue Arabe) : Faire de son mieux pour adorer Allah, comme Allah le demande.
[5] Au Firdaws Ala’laa (le « r » roulé).

jeudi 6 août 2009

VOYAGE AVEC MON PÈRE


Vers la fin de l’année 1969,[1] avant d’aller en France pour des études universitaires, j’ai quitté Rabat[2] et rejoint Agadir[3] où un jour, mon père qui partait à Tan Tan[4] pour rendre visite au responsable militaire de la garnison, m’a demandé de l’accompagner. Il avait sans doute senti que je n’y tenais pas[5] et avait souligné qu’il fallait toujours saisir toutes les occasions pour connaître son pays. Il a ajouté que parfois, les occasions ne se représentent pas.
À l’époque, je ne connaissais pas grand-chose aux relations internationales. Le Maroc[6] a été colonisé bien sûr, comme le reste de l’Afrique et d’autres territoires dans d’autres continents. Il a été, avec la participation des traîtres locaux à tous les niveaux, partagé entre des pays colonisateurs, principalement la France et l’Espagne.[7]
Avec ce qui a été appelé en 1956 « l’indépendance dans l’interdépendance », c’est un pays[8] meurtri, démembré, disloqué, souillé, livré à de nouveaux trafics en tous genres.
Des centaines de milliers de ses hommes, femmes et enfants ont été exterminés.
Partout des cendres de vies éteintes, calcinées.
Depuis longtemps déjà, les puissances internationales se partagent les interventions dans l’instauration, l’organisation, le fonctionnement et le remplacement des « États »[9] et de leurs employés locaux[10] tenus de servir les objectifs des employeurs qui, en échange, ne les privent pas de s’accaparer de ce qu’ils veulent dans les pays où ils sévissent, en violant les droits les plus élémentaires des populations.[11]
Les éléments de désagrégation et de destruction consolident leur règne. Le malaise s’étend. La cassure s’aggrave. Le déséquilibre se renforce. La mémoire continue de s’infecter.
En 1957, pour garder la région de Chnguite[12] ¨sous son contrôle, le colonialisme français, par l’opération dite Écouvillon, est intervenu aux côtés de l’armée espagnole pour lui permettre de continuer à occuper des territoires du Sud du Maroc : Tarfaya,[13] Ifni, Saguia Lhmra[14] et Oued DDahab[15]
Les territoires de Tarfaya et d’Ifni ont été évacués en 1958 et 1969. Après une « marche verte » en 1975, le colonialisme espagnol a annoncé son retrait[16] de Saguia Lhmra et d’Oued Addahab (Sahara dit Espagnol).[17]
Revenons au voyage.
Tan Tan[18] est à plus de 300 kilomètres au Sud d’Agadir. Un peu en retrait de la côte Atlantique. Nous sommes partis le matin. Pendant le trajet, mon père m’a certainement raconté beaucoup de choses.[19] Je ne me souviens de rien. Concernant la demeure du responsable militaire de la garnison, je me rappelle d’un salon et au milieu, une peau de panthère avec la tête de l’animal. Des soldats s’affairaient et s’occupaient de tout. Nous sommes restés deux jours je crois. Ai-je quitté la maison pour voir Tan Tan ? Je ne sais pas. Mon père et son hôte[20] l’ont-ils fait ? Je ne sais pas non plus. Ce dont je me souviens, c’est qu’ils ont passé beaucoup de temps à discuter. De quoi ? Mystère. Je n’étais pas convié à partager leurs échanges qui, en ma présence, prenaient une tournure banale. Mon père ne m’a jamais parlé des raisons de cette visite. Pourquoi j’y pense aujourd’hui ? Est-ce parce que je veux deviner ce que ce voyage « cachait » ? Est-ce parce que c’est le seul voyage que nous avons fait ensemble, mon père et moi ? Est-ce parce que je veux penser que mon père m’a, en fait, invité à faire le « voyage » vers lui ? Est-ce parce qu’il est possible que ce soit une tentative de sa part de faire le « voyage » vers moi ?[21]
Lorsque mon père était encore de ce monde, je n’ai jamais pensé à ce voyage.
Peu de temps après Tan Tan,[22] j’ai quitté le Maroc pour la France.[23]

BOUAZZA


[1] À quelques mois de mes vingt ans.
[2] Arribate (le « r » roulé).
[3] Le « r » roulé.
[4] Tane Tane.
[5] Il ne m’avait jamais demandé de faire ce genre de voyage avec lui.
[6] Mghrib (le « r » roulé).
[7] S’agissant de territoires, l’Espagne continue d’occuper des îles au Nord, ainsi que les villes de Sbta (Ceuta) et Mlilya (Melilla).
[8] Qui a connu, comme d’innombrables autres, la terreur, les horreurs, la tyrannie, le despotisme, le mépris, les manipulations, les supercheries et les impostures, bien avant le colonialisme, le néo-colonialisme et l’impérialo-sionisme.
[9] Des « États » qui s’y connaissent en crimes, en massacres, en tortures, en malversations, en cupidités, en perfidies, en pillages, en mensonges, en débauches, en vices, en perversités, en supercheries, en impostures et autres.
[10] Qui savent être serviles, oppresseurs, tyranniques, malfaisants, malsains, pervers, débauchés, sanguinaires, vendus, corrompus, imposteurs, traîtres.
[11] Mais les crimes, quels qu’ils soient et d’où qu’ils viennent, n’élimineront jamais la Résistance des croyants et des croyantes.
[12] Devenue « État » de Mauritanie, créé par la France en 1960, avec, bien entendu, des employés locaux en service commandé. À l’Est, le colonialisme français s’est emparé de territoires pour les rattacher à ce qui était appelé « département français d’Algérie » et jusqu’à aujourd’hui, les ingrédients qui font les affrontements insolubles ne manquent pas entre les « États » du Maroc et de l’Algérie, mis en place, avec des employés locaux évidemment, pour continuer à opprimer les populations et servir les objectifs des employeurs.
[13] Cap Juby.
[14] Assaqia alhamra (le « r » roulé), le Ruisseau Rouge, la Rigole Rouge.
[15] Ouad Addahab, la Rivière d’Or, le Fleuve d’Or.
[16] Une « République Sahraouie » a été proclamée, avec, bien sûr, des employés locaux, pour l’installation, un jour ou l’autre, d’un « État » sur ces territoires.
[17] Texte daté de 1992.
[18] Territoire faisant partie du début du Sahara.
[19] Il aimait parler.
[20] C’était un de nos voisins à Agadir où il revenait en général une fois par semaine pour passer un moment avec son épouse et leurs enfants qui ne vivaient pas avec lui à Tan Tan. Il est décédé dans un « accident » d’hélicoptère. Plus tard, un de mes frères a épousé sa fille. Ce mariage n’a pas duré.
[21] Nous n’étions pas à l’aise l’un avec l’autre.
[22] Ce qui n’était qu’une garnison militaire a beaucoup changé paraît-il, et Tan Tan est maintenant une « cité importante ».
[23] Où je suis installé aujourd’hui avec mon épouse et nos enfants.

mercredi 5 août 2009

LA PLUIE




Des éléphants plongent leur trombe dans la terre à la recherche de l’eau. D’autres animaux font comme ils peuvent et creusent pour la même raison. Tous savent, de Source sûre, qu’il y a des moments où il faut chercher l’eau dans les profondeurs.
La difficulté de se procurer le précieux liquide consolide l’endurance.[1]
Devant le téléviseur, mes sens sont en éveil et veulent tout capter du reportage sur cette marche en pleine canicule dans la savane. Je suis au milieu des buffles, des zèbres, des girafes et autres, à la recherche d’une petite mare non encore desséchée.
Nous ne comptons pas le temps et nous ne mesurons pas l’espace. Ce qui doit être sera. Le but est dans nos cœurs.
Les pas s’affaiblissent. La fatigue gagne. L’épuisement guette. La souffrance augmente.
Mais l’espoir demeure.
Nous sentons l’approche de l’offrande.
Des gouttes descendent du ciel, nous effleurent puis, de plus en plus nombreuses, nous rafraîchissent, nous lavent, nous purifient, nous abreuvent et étanchent la soif de la terre.
Louange à Allah,[2] Seigneur des Univers.
Des larmes coulent.
Flots de pensées.
Averses d’images.
Afflux de sensations.

BOUAZZA

[1] Assabr en langue Arabe (le « r » roulé).
[2] Dieu.

dimanche 2 août 2009

LE VENT DU DIABLE

[1]

Pendant une des phases de la Résistance en Inde, en 1857-1858, les massacres menés par l’impérialisme Britannique ont été désignés par l’expression « le vent du diable ».
La férocité des massacres est celle que l’impérialisme a toujours appliquée et qu’il applique toujours contre les populations sur les différents continents.
Les crimes de l’impérialisme[2] n’ont rien épargné et n’épargnent rien. Ils continuent d’alimenter, d’entretenir et de répandre les horreurs, la pourriture, la puanteur et les ténèbres.
En 1857-1858, la Résistance contre l’occupation Britannique de l’Inde, a été renforcée par la participation à la lutte, des soldats[3] Indiens enrôlés dans l’armée d’occupation.
Comme à chaque fois qu’il est question de Résistance, les colonialo-impérialo-sionistes et consorts, mettent tout en œuvre pour soutenir leur « légitime défense » face aux « attaques de la barbarie contre la civilisation et l’humanité ».[4]
La Résistance en 1857-1858 a été présentée comme une atteinte aux « droits » de la Compagnie Anglaise des Indes Orientales (C.A.I.O.)[5] et donc une menace contre le Royaume-Uni, c'est-à-dire contre « la civilisation et l’humanité ».[6]
L’impérialisme a mobilisé d’énormes moyens pour écraser la Résistance. Les populations, par milliers ont été exterminées, des villages anéantis et des Résistants attachés à la bouche des canons et transformés en bouillie.[7]
« Le vent du diable »[8] continue et continuera de souffler mais il n’éliminera jamais la Résistance des croyants et des croyantes qui continue et continuera partout.
BOUAZZA

[1] Et ne crois pas qu’Allah soit inattentif à ce que font les injustes. Il ne fait que les retarder pour un jour où les regards se figeront.
Alqoraane (Le Coran), sourate 14 (chapitre 14), Ibrahime (le « r » roulé), Abraham, ayate 42 (verset 42).
[2] Du colonialisme, du néo-colonialisme, du sionisme, et autres sont des crimes que les croyants et les croyantes n’oublient pas et n’oublieront jamais.
[3] Soldats dits « Cipayes », de l’Hindi « Shipahi ».
En français, « Spahis » désigne des soldats enrôlés dans l’armée colonialiste, des « cavaliers indigènes, principalement du Maroc et de l’Algérie, au service de la France ».
[4] Le même discours continue d’être servi pour « défendre la liberté, la démocratie, les droits de l’homme » et tout le toutim, contre « le terrorisme musulman ».
[5] Cette Compagnie (British East India Compagnie) avait depuis 1600 le monopole du commerce dans l’Océan Indien et agissait pour dominer tout le commerce en Asie. Elle a trouvé des arrangements avec la Compagnie Néerlandaise des Indes Orientales, pour éliminer la Compagnie Française des Indes Orientales. Elle agissait pour l’impérialisme Britannique et bénéficiait de tous les moyens à cet effet.
[6] Ceux qui par le système monétaire imposé à l’échelle internationale ont dicté, dictent ce qu’il faut faire ou ne pas faire et ont utilisé, utilisent les « gouvernements » pour considérer l’univers comme un marché au service des banques, ceux qui ont déporté des millions d’Africains réduits à l’esclavage et qui ont transformé le continent en dépotoir, ceux qui se sont illustrés dans les horreurs en Amérique du Sud, en Australie, en Nouvelle-Zélande et ailleurs, ceux qui ont transformé la terre en propriété à partager entre les colonialistes, ceux qui ont spolié et qui spolient, ceux qui ont tout expérimenté sur des populations en Europe et dans d’autres continents et qui ont provoqué des guerres planétaires avec des crimes inimaginables pour servir leurs intérêts, ceux qui ont pillé et qui pillent tout ce qu’ils peuvent, ceux qui se sont appropriés et qui s’approprient ce qui ne leur appartient pas, ceux qui s’accaparent des richesses, dépossèdent et affament des populations, ceux qui ont persécuté et qui persécutent, ceux qui ont rempli et qui remplissent des lieux d’enfermement par les personnes qui leur résistent, ceux qui ont kidnappé, enlevé, arrêté, torturé et qui kidnappent, enlèvent, arrêtent, torturent les personnes qu’ils n’arrivent pas à soumettre, ceux qui ont fait disparaître et qui font disparaître des êtres qui les gênent, ceux qui ont usé et qui usent de tous les moyens de répression, ceux qui ont alimenté et qui alimentent le mensonge, la tromperie, la tricherie, l’hypocrisie, la corruption, la débauche, le vice, la perversité, ceux qui ont nourri et qui nourrissent les injustices, ceux qui ont fait et qui font de l’écrasement des autres une règle de conduite, ceux qui ont exterminé les Indiens, pratiqué l’esclavage, utilisé l’apartheid, répandent la ségrégation, ceux qui ont jeté des bombes atomiques sur les populations du Japon, qui ont eu recours à tous les moyens de destruction en Corée, au Vietnam, au Cambodge, au Laos, en Iraq et dans d’innombrables autres régions, ceux qui ont cultivé et qui cultivent l’arrogance, ceux qui ont fait et qui font tout pour éliminer les populations Palestiniennes et dépalestiniser la Palestine par une colonisation de peuplement mondiale, ceux qui ont supprimé des millions d’êtres humains et ravagé des pays « pour faire triompher le socialisme », ceux qui se vantent de leurs champs de ruines en Tchétchénie, ceux qui détiennent les armes de destruction massive les plus sophistiquées et l’armement nucléaire le plus terrifiant, ceux qui ont violé et qui violent les droits les plus élémentaires, bannissent, expulsent, transplantent, humilient, exploitent, terrorisent, dominent, anéantissent partout, ceux qui détruisent des pays dans tous les domaines, ceux qui ont pollué et qui ne cessent de polluer de manière effroyable, ceux-là et d’autres encore qui ont entretenu et qui entretiennent le pire, s’étaient proclamés et se proclament « défenseurs de l’humanité » !
[7] Les pratiques de ce genre n’ont pas cessé et une certaine « compétence », dans les territoires sous domination colonialo-impérialo-sioniste, a été reconnue aux employés de « l’indépendance dans l’interdépendance » et consorts en Inde (aujourd’hui Inde, Pakistan, Bangladesh), dans d’autres régions d’Asie, en Afrique et ailleurs, pour participer au « travail ».
[8] L’impérialisme et à sa tête aujourd’hui, l’impérialisme américain, c'est-à-dire le système monétaire imposé à l’échelle mondiale, qui le maintient à cette place.

samedi 1 août 2009

SENS ET LIEN


« Qu’ai-je à faire avec les biens de ce monde ?
Je suis comme un voyageur qui s’étend à l’ombre d’un arbre ; le soleil en tournant le rejoint, et il quitte cet arbre pour n’y plus revenir. »[1]
Nous avons été, nous sommes et resterons attachés au Message d’Allah.
S’agissant de l’humanité, ce Message a commencé avec nos parents, Adame[2] et Hawwa.[3]
Les croyants et les croyantes ont cheminé ici-bas, continuent leur chemin et le poursuivront en faisant de leur mieux pour adorer Allah, comme Allah le demande.[4]

BOUAZZA


[1] Paroles attribuées au Messager et Prophète Mohammad, bénédiction et paix sur lui, rapportées par son épouse ‘Aicha (Aïcha) qu’Allah l’agrée, et citées par :
E. Dinet et Slimane Ben Ibrahim, la vie de Mohammed, Alger, La Maison des Livres, 1989, p.200.
[2] Adam, bénédiction et paix sur lui.
[3] Ève, qu’Allah l’agrée.
[4] L’Islam consiste à faire de son mieux pour adorer Allah, comme Allah le demande.